- 7e circonscription du Val d’Oise (Cantons de
5 questions aux candidat(e)s de l’Est du Val d’Oise. DOMINIQUE DA SILVA (LREM - 7e circo)
2017 est par excellence une année d’élections. La présidentielle passée, que voilà déjà les législatives. La rédaction de Visagonews a proposé à l’ensemble des candidats à la députation, sur l’Est du Val d’Oise (7e, 8e, 9e circonscriptions), une interview type de 5 questions identiques…

Pourriez-vous vous présenter en quelques lignes ou nous exposer les principales motivations de votre candidature ?
Dominique Da Silva, chef d’entreprise dans la construction modulaire et écologique, et Maire-adjoint de Moisselles délégué aux finances. J’ai rejoint le mouvement « En Marche » d’Emmanuel Macron dès avril 2016. Je me suis engagé dans le sillage de ce mouvement qui promettait de renouveler la politique en rendant la démocratie aux citoyens, en l’ouvrant à la société dans toute sa diversité. C’est le seul moyen de réconcilier enfin les Français avec l’action publique.
Quelles sont vos priorités pour l’Est du Val d’Oise et plus particulièrement dans votre circonscription ?
Le combat qui me tient le plus à cœur, est celui pour l’emploi, en particulier pour les jeunes. Le chômage de masse n’est pas une fatalité et on ne peut pas se résoudre à ce que la France soit le pays occidental avec le plus fort taux de gens sans travail. Notre pays possède avec sa jeunesse une immense énergie, avec des talents qui ne demandent qu’à s’exprimer. En face, les entreprises n’arrivent pas à recruter autant qu’elles le souhaiteraient. Il faut de manière volontariste, recréer les conditions de la rencontre entre nos demandeurs d’emploi et les entreprises. Simplification d’un côté, formation et incitation de l’autre.
Quelle proposition de loi comptez-vous porter pour le territoire ?
Je m’inscris à 100% dans la démarche d’Emmanuel Macron, et à ce titre je me retrouve pleinement dans le projet présidentiel. Naturellement ce sont les dispositions favorisant l’emploi que je porterai en priorité. Je serai aussi très impliqué sur d’autres sujets comme le logement, avec l’accélération des procédures visant à construire plus vite et faire baisser le prix de l’immobilier, qui est un vrai frein à la mobilité professionnelle. A titre personnel, je suis très sensible à l’égalité réelle des chances dès le plus jeune âge. C’est donc avec fierté et détermination que je soutiendrai les mesures telles que la limitation à 12 élèves dans les classes de CP et CE1 en zone prioritaire.
Emmanuel Macron, nouveau Président de la République, recherchera au-delà de son propre mouvement une majorité à l’assemblée, pourriez-vous faire partie de celle-ci ?
De nombreuses barrières sont déjà tombées, et je ne doute pas qu’une fois les élections législatives passées et remportées, de nombreux députés progressistes viendront soutenir notre majorité La République En Marche.
Un plan B en cas d’échec aux législatives ?
Ce n’est pas la politique qui m’a fait vivre jusque-là, donc je poursuivrai de pair mon activité d’entrepreneur et mon engagement local. Quoi qu’il en soit, il se produit en ce moment quelque chose d’inédit dans notre pays, et rien ne sera jamais plus comme avant.
Par la rédaction